Les départements cherchent des parades à l'explosion du coût du RMI, par Bertrand Bissuel et Patrick Roger
"Un an et demi après avoir récupéré la gestion pleine et entière du revenu minimum d'insertion (RMI), les conseils généraux ont le sentiment d'avoir été victimes d'un marché de dupes. La loi du 18 décembre 2003 leur a confié un dispositif dont le nombre de bénéficiaires ne cesse de progresser.
Conséquence : les coûts explosent. Le gouvernement s'est certes engagé à compenser "à l'euro près" le surcroît de dépenses, mais sans dissiper toutes les inquiétudes. Soumis à des charges financières de plus en plus lourdes, les départements lancent de nouvelles politiques d'insertion qui leur valent, parfois, d'être accusés de vouloir faire des économies sur le dos des RMistes...." Article paru dans l'édition du 26.07.05 La suite en cliquant sur ce lien
Le conseil général des Bouches-du-Rhône fait la chasse aux "profiteurs", par Michel Samson
"Le conseil général des Bouches-du-Rhône a entrepris une réorganisation complète de son action en direction des allocataires du RMI, avec pour objectif de mieux contrôler les parcours d'insertion des 69 200 bénéficiaires recensés dans le département.
Lisette Narducci, conseillère générale (PS) chargée de l'insertion, explique que le département doit dépenser 406 millions d'euros en 2005 pour le RMI, dont 53 pour l'insertion. A la fin 2004, le paiement de l'allocation enregistrait un déficit de trésorerie de 14 millions d'euros. Et il devrait croître : pour le premier trimestre 2005, l'écart entre le montant payé aux allocataires et les recettes perçues de l'Etat s'élevait déjà à 13 millions d'euros. Selon Mme Narducci, qui insiste sur "la responsabilité du gouvernement" , il devenait urgent de mettre en place "une réorganisation en profondeur pour contenir le nombre de RMistes et accélérer les sorties du dispositif vers l'emploi.... "
(Article paru dans l'édition du 26.07.05)
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"Un an et demi après avoir récupéré la gestion pleine et entière du revenu minimum d'insertion (RMI), les conseils généraux ont le sentiment d'avoir été victimes d'un marché de dupes. La loi du 18 décembre 2003 leur a confié un dispositif dont le nombre de bénéficiaires ne cesse de progresser.
Conséquence : les coûts explosent. Le gouvernement s'est certes engagé à compenser "à l'euro près" le surcroît de dépenses, mais sans dissiper toutes les inquiétudes. Soumis à des charges financières de plus en plus lourdes, les départements lancent de nouvelles politiques d'insertion qui leur valent, parfois, d'être accusés de vouloir faire des économies sur le dos des RMistes...." Article paru dans l'édition du 26.07.05 La suite en cliquant sur ce lien
Le conseil général des Bouches-du-Rhône fait la chasse aux "profiteurs", par Michel Samson
"Le conseil général des Bouches-du-Rhône a entrepris une réorganisation complète de son action en direction des allocataires du RMI, avec pour objectif de mieux contrôler les parcours d'insertion des 69 200 bénéficiaires recensés dans le département.
Lisette Narducci, conseillère générale (PS) chargée de l'insertion, explique que le département doit dépenser 406 millions d'euros en 2005 pour le RMI, dont 53 pour l'insertion. A la fin 2004, le paiement de l'allocation enregistrait un déficit de trésorerie de 14 millions d'euros. Et il devrait croître : pour le premier trimestre 2005, l'écart entre le montant payé aux allocataires et les recettes perçues de l'Etat s'élevait déjà à 13 millions d'euros. Selon Mme Narducci, qui insiste sur "la responsabilité du gouvernement" , il devenait urgent de mettre en place "une réorganisation en profondeur pour contenir le nombre de RMistes et accélérer les sorties du dispositif vers l'emploi.... "
(Article paru dans l'édition du 26.07.05)
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