Nous ne pouvons débuter cette année 2005 sans évoquer le drame que vivent actuellement des millions de personnes en Asie du sud est. Ce sont toujours les populations les plus pauvres, les plus fragiles qui sont les premières victimes des catastrophes qu'elles soient naturelles ou d'origine humaine.
La majeure partie des régions côtières affectées sont l'Indonésie, la Thaïlande,la Malaisie, Myanmar (Birmanie),le Sri Lanka, l'Inde , les Maldives, et jusqu'à la côte orientale de l'Afrique. Dans la majorité de ces pays les moyens de communication sont réduits, ce qui limite une évaluation complète des dégats ainsi que l'arrivée rapide de l'aide d'urgence.
l'UNICEF indique que le tiers des victimes sont des enfants. Le Fond des Nations Unies pour la Population annonce que les femmes et les jeunes filles seront spécifiquement les plus vulnérables au moment de la "deuxième vague" de la catastrophe, lorsque des millions de personnes seront confrontées à la contamination des eaux potables, la destruction des infrastructures de santé.
Le nombre de victimes, les risque de propagation d'épidémie, doivent aussi nous rappeler que la lutte contre la pauvreté, l'exclusion, l'accès à des moyens décents de vie ( nourriture, logement, éducation, accès à l'information) sont les meilleurs moyens de prévention permettant lors de catastrophes naturelles de limiter le nombre de victimes. Aussi en tant que travaillleurs sociaux, nous sommes doublemement touchés et concernés.
D'abord par le constat du drame humain que vit la population. Comme tous, nous ne pouvons que participer à la mesure de nos moyens à un élan de solidarité internatioinale.
Mais nous sommes aussi concernés par le constat des conséquences dramatiques du sous développement. Toutes les sociétés actuellement acceptent en leur sein qu'une partie notable de la population soit exclue des droits élémentaires que sont l'accès aux moyens de subsistance, de logement, à l'éducation et à l'information.
Lorsqu'un drame survient, la population la plus fragile est toujours la 1ère victime. Or dans tous les pays, les travailleurs sociaux agissent avec et pour que les personnes les plus exclues soient reconnues dans leurs droits et dans leur dignité.
Aussi mesurons nous à l'échelle du drame qui est survenu en Asie du Sud Est, combien la tâche et grande et combien il révèle les besoins.
La lutte contre la pauvreté et l'exclusion ne peut se limiter à des déclarations de compassion ou à des actions humanitaires et charitables. Même si celles-ci restent nécessaires n'oublions pas que nous sommes aussi responsables du monde dans lequel nous vivons.
C'est pourquoi l'engagement de chacun reste nécessaire dans la fonction qui est la sienne.
La majeure partie des régions côtières affectées sont l'Indonésie, la Thaïlande,la Malaisie, Myanmar (Birmanie),le Sri Lanka, l'Inde , les Maldives, et jusqu'à la côte orientale de l'Afrique. Dans la majorité de ces pays les moyens de communication sont réduits, ce qui limite une évaluation complète des dégats ainsi que l'arrivée rapide de l'aide d'urgence.
l'UNICEF indique que le tiers des victimes sont des enfants. Le Fond des Nations Unies pour la Population annonce que les femmes et les jeunes filles seront spécifiquement les plus vulnérables au moment de la "deuxième vague" de la catastrophe, lorsque des millions de personnes seront confrontées à la contamination des eaux potables, la destruction des infrastructures de santé.
Le nombre de victimes, les risque de propagation d'épidémie, doivent aussi nous rappeler que la lutte contre la pauvreté, l'exclusion, l'accès à des moyens décents de vie ( nourriture, logement, éducation, accès à l'information) sont les meilleurs moyens de prévention permettant lors de catastrophes naturelles de limiter le nombre de victimes. Aussi en tant que travaillleurs sociaux, nous sommes doublemement touchés et concernés.
D'abord par le constat du drame humain que vit la population. Comme tous, nous ne pouvons que participer à la mesure de nos moyens à un élan de solidarité internatioinale.
Mais nous sommes aussi concernés par le constat des conséquences dramatiques du sous développement. Toutes les sociétés actuellement acceptent en leur sein qu'une partie notable de la population soit exclue des droits élémentaires que sont l'accès aux moyens de subsistance, de logement, à l'éducation et à l'information.
Lorsqu'un drame survient, la population la plus fragile est toujours la 1ère victime. Or dans tous les pays, les travailleurs sociaux agissent avec et pour que les personnes les plus exclues soient reconnues dans leurs droits et dans leur dignité.
Aussi mesurons nous à l'échelle du drame qui est survenu en Asie du Sud Est, combien la tâche et grande et combien il révèle les besoins.
La lutte contre la pauvreté et l'exclusion ne peut se limiter à des déclarations de compassion ou à des actions humanitaires et charitables. Même si celles-ci restent nécessaires n'oublions pas que nous sommes aussi responsables du monde dans lequel nous vivons.
C'est pourquoi l'engagement de chacun reste nécessaire dans la fonction qui est la sienne.