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Le cadre ancien de sa réalisation est en train de disparaitre. Nous assistons à un bouleversement des règles qui régissent l'action sociale
- Un peu partout en Europe, la logique de l'Etat providence a été abandonnée, elle fait place à une approche qui redéfinit les relations entre l'Etat, les organisations, et les associations productrices de services.
- L'Etat n'a plus le monopole de l'action sociale.
- L’action sociale n’est plus envisagée comme un devoir des nations envers leurs citoyens, mais comme un simple moyen de limiter les effets trop criants des politiques économiques. Le Travail Social devient outils de ces politiques.
- Les valeurs qui ont fondé les relations entre les individus et leurs rapports aux institutions sont en train de se transformer (solidarités locales et familiales…)
- Les pratiques sociales sont elles aussi imprégnées par des concepts issus de l’économie de marché.
- Nous sommes en train de passer des territoires institutionnels aux territoires de projets.
Si bien que les principes sur lesquels se fondent l'intervention sociale et les modalités de sa mise en œuvre doivent être réinventées.
Répondre aux transformations sociales, politiques, économiques récentes
Ces mutations exigent d'être en capacité d'adapter nos pratiques si nous voulons prétendre à des réponses opératoires.
C'est à partir de constats lucides et argumentés qu'il sera possible de mesurer les priorités à mettre en œuvre. Elles doivent nous permettre, à partir des expériences et des réponses déjà apportées par le terrain, de définir des axes stratégiques d'intervention.
Nous vous proposons d'étudier ensemble pendant ces 3 jours les questions qui nous concernent tous. Ainsi par exemple :
- Comment sortir du stéréotype de l'usager consommateur de travail social ?
- Comment agir pour contrer l'interdépendance usagers / travailleurs sociaux et l'épuisement professionnel ?
- Comment développer la capacité stratégique des acteurs ? ( Institutions, usagers, travailleurs sociaux )
- Quels sont nos repères, les limites à poser celles qui doivent être dépassées ?
- La notion d'organisation de travail permet-elle de faire émerger des opportunités de développement plus actives ? peut-elle renforcer la démocratie participative ?
Nous vous proposons ces journées d'études pour en débattre faisant le pari que, concernés par l'intervention sociale vous avez votre mot à dire pour entreprendre sa rénovation.
- Un peu partout en Europe, la logique de l'Etat providence a été abandonnée, elle fait place à une approche qui redéfinit les relations entre l'Etat, les organisations, et les associations productrices de services.
- L'Etat n'a plus le monopole de l'action sociale.
- L’action sociale n’est plus envisagée comme un devoir des nations envers leurs citoyens, mais comme un simple moyen de limiter les effets trop criants des politiques économiques. Le Travail Social devient outils de ces politiques.
- Les valeurs qui ont fondé les relations entre les individus et leurs rapports aux institutions sont en train de se transformer (solidarités locales et familiales…)
- Les pratiques sociales sont elles aussi imprégnées par des concepts issus de l’économie de marché.
- Nous sommes en train de passer des territoires institutionnels aux territoires de projets.
Si bien que les principes sur lesquels se fondent l'intervention sociale et les modalités de sa mise en œuvre doivent être réinventées.
Répondre aux transformations sociales, politiques, économiques récentes
Ces mutations exigent d'être en capacité d'adapter nos pratiques si nous voulons prétendre à des réponses opératoires.
C'est à partir de constats lucides et argumentés qu'il sera possible de mesurer les priorités à mettre en œuvre. Elles doivent nous permettre, à partir des expériences et des réponses déjà apportées par le terrain, de définir des axes stratégiques d'intervention.
Nous vous proposons d'étudier ensemble pendant ces 3 jours les questions qui nous concernent tous. Ainsi par exemple :
- Comment sortir du stéréotype de l'usager consommateur de travail social ?
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