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Par un décret du 30 octobre 2013, les personnels de la PJJ sont soumis au secret professionnel ; une extension par ailleurs appliquée, par la loi du 26 janvier 2016, au secteur associatif habilité. Mais si la réglementation a permis de clarifier le cadre, qu’en est-il dans la pratique ?
Car le sujet est protéiforme : secret professionnel, partage d’information à caractère secret, obligation de discrétion, devoir de réserve… mais aussi secret de famille, médical, de l’instruction, de polichinelle, jardin secret… Le secret est-il nécessaire ? À quels moments ? Comment travaille-t-on avec le(s) secret(s) ? Que partager ? Avec qui ? Et dans quelles circonstances ? Si cette question pose les bases de la relation de confiance entre professionnels et jeunes pris en charge et leurs parents, elle est également un objet de débat récurrent, de confusion et, selon les contextes, de pression sur les acteurs, que
Les Cahiers dynamiques offrent d’analyser.
Car le sujet est protéiforme : secret professionnel, partage d’information à caractère secret, obligation de discrétion, devoir de réserve… mais aussi secret de famille, médical, de l’instruction, de polichinelle, jardin secret… Le secret est-il nécessaire ? À quels moments ? Comment travaille-t-on avec le(s) secret(s) ? Que partager ? Avec qui ? Et dans quelles circonstances ? Si cette question pose les bases de la relation de confiance entre professionnels et jeunes pris en charge et leurs parents, elle est également un objet de débat récurrent, de confusion et, selon les contextes, de pression sur les acteurs, que
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Les informations sont à retrouver ici