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Cérémonie de dévoilement de la plaque en hommage aux résistantes Suzanne Leclézio et Yvonne Ziegler
S’appuyant sur différents travaux réalisés par l’Inspection générale des affaires sociales ou par d’autres institutions, ce rapport présente une réflexion sur la notion d’accompagnement social, très souvent utilisée dans le cadre des politiques de solidarité, mais avec des sens multiples (aide aux démarches administratives, prévention du surendettement, guidance familiale, hébergement d’urgence, soutien dans la recherche d’emploi, etc.).
Le rapport approfondit l’examen de quelques politiques d’accompagnement emblématiques, et rend compte des paroles d’usagers, de professionnels et de chercheurs, en croisant différentes approches (historiques, sociologiques, économiques, etc.).
Il dresse ainsi un état des lieux des politiques d’accompagnement social dans notre pays à l’issue des transformations profondes qu’elles ont connues depuis les années 1980 ; il porte également un regard sur les moyens qui lui sont consacrés et sur les finalités poursuivies. En quoi consistent ces accompagnements ? Au bénéfice de quelles populations ? Que disent les évaluations ? Qu’en pensent les personnes concernées ? Quels sont les besoins peu couverts et les pratiques émergentes ?
Le rapport interroge la place de l’accompagnement individuel par rapport aux approches collectives, la césure entre les accompagnements social et professionnel, ainsi que la démultiplication de ces formes d’intervention.
Il formule enfin un ensemble de recommandations visant à renouer avec l’ambition émancipatrice initiale de l’accompagnement social, en cohérence avec les objectifs de la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté récemment présentée par le Gouvernement.
Compte tenu du partage des responsabilités entre l’État et les collectivités territoriales en matière de cohésion sociale, le rapport plaide notamment pour une contractualisation entre les acteurs, dans une logique d’investissement social.
Le rapport approfondit l’examen de quelques politiques d’accompagnement emblématiques, et rend compte des paroles d’usagers, de professionnels et de chercheurs, en croisant différentes approches (historiques, sociologiques, économiques, etc.).
Il dresse ainsi un état des lieux des politiques d’accompagnement social dans notre pays à l’issue des transformations profondes qu’elles ont connues depuis les années 1980 ; il porte également un regard sur les moyens qui lui sont consacrés et sur les finalités poursuivies. En quoi consistent ces accompagnements ? Au bénéfice de quelles populations ? Que disent les évaluations ? Qu’en pensent les personnes concernées ? Quels sont les besoins peu couverts et les pratiques émergentes ?
Le rapport interroge la place de l’accompagnement individuel par rapport aux approches collectives, la césure entre les accompagnements social et professionnel, ainsi que la démultiplication de ces formes d’intervention.
Il formule enfin un ensemble de recommandations visant à renouer avec l’ambition émancipatrice initiale de l’accompagnement social, en cohérence avec les objectifs de la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté récemment présentée par le Gouvernement.
Compte tenu du partage des responsabilités entre l’État et les collectivités territoriales en matière de cohésion sociale, le rapport plaide notamment pour une contractualisation entre les acteurs, dans une logique d’investissement social.
Lire le rapport ici